Entrevue avec son excellence M. Sindamwo Gaston, Vice-président de la République du Burundi.

Entrevue accordée à AfriqueCanadaTv par son excellence M. Sindamwo Gaston, Vice-président de la république du Burundi.
Il nous parle de l’origine des problèmes actuels au Burundi, des accusations médiatiques selon lesquels il y a risque de génocide et viols massifs au Burundi, du dialogue inter-Burundais, de la sécurité au pays et d’autres points importants.
Réalisé par William Muyuku

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10 Comments on “Entrevue avec son excellence M. Sindamwo Gaston, Vice-président de la République du Burundi.”

  1. Merci bcp pour cette intervention de Monsieur Nsindimo Gaston. Franchement, ça rassure la diaspora ,mais il faut absolument que les autorités mettent de l’ordre dans leurs assiettes sinon c’est une débandade politique au Burundi quand on se fie à ceux qui se disent dans médias.

  2. Monsieur le journaliste si tu écoute la façon dont Monsieur Gaston répond à ton entrevue tu comprend aisément quel genre de gouvernement on a dans notre pays.Franchement où peut on arriver avec une telle médiocrité? Il fait la honte du pays

  3. Au Burundi l’agriculture et le commerce vous nous parler de l’origines d’une personnes au pays que dit le droit et les lois? je vous encourager plus a l’agriculture, les routes au pays soyez des fils Demandeurs de paix en Jesus Christ de Nazareth au pays

  4. Pourquoi insulté votre vice président? M. M. Sindamwo Gaston est un homme courageux qui a rassuré ceux qui étaient déjà victimes de la médisance de la part des ennemis de la démocratie au Burundi. Le gouvernement actuel est le reflex de la population burundaise, contrairement aux autres gouvernements ou une partie de la population était écartée de la gestion du pays..

  5. Merci Kennedy Huruma, la population a toujours était hors portée de ceux qui se passe en politique, Elle est emportée par les paroles opposantes “opposants qui visent leurs intérêts”, sans imaginations et enfin de compte, c’est un regret total. Nous avons tendance, d’oublier certaines événements qui on marquait notre histoire et embarquer aveuglement sur certains actes. J’appuie ton idée Kennedy Huruma.

  6. Bonjour,
    Il y a probabilité que votre commentaire ne soit pas affiché, la raison est que nous n’admettons pas les commentaires qui ont des insultes, des allegations mensongères, qui manquent les respects à d’autres personnes et dont les auteurs ne s’identifient pas par leurs vrais noms.
    Merci.
    Équipe AfriqueCanadaTV

  7. Pour mieux bâtir le pays il ne faut pas des insultes parce que chaque fois le mal peut commencer par la bouche et se peut terminer par les coups des jambes. Si non ceux qui parlent comme ça peut être les gens qui n’ aiment pas la paix. Je leur conseille de retourner dans les anciennes histoires du Burundi pour qu’ ils comprennent la vie burundaise. Donc sans aller trop loin , si sont des jeunes ils peuvent demander à leurs parents ceux ci : où sont partis les gens qui faisaient le gouvernement de 1993. de toute façon on ne peut pas tous citer, si les gens là étaient des intellectuels ? ils pourraient se documenter pour voir comment le Burundi a perdu les hauts cadres du pays , des personnes très intelligents. Eux aussi sont intelligents mais ils faut qu’ ils sachent que les morts ne reviennent plus pour les remplacer ç’ a prend du temps parce que se sont élus démocratiquement, alors c’est le pays qui reste dans la pauvreté ou bien vous faites expres faisant semblant que vous connaissez rien. Enlever aussi la pauvreté causée par les malfaiteurs ç a prend du temps c’est mieux d’ arrêter les sales besognes si vous voulez que le pays avance. Si non on va rester dans le désordre. Il y en a qui disent que le pays voisin avance bien , mais je crois que il est aidé plus que le burundi à cause on ne peut pas tout parler au contraire le burundi n’ avait pas de robinet depuis longtemps vous savez vous mêmes comment s’ est passé. On doit vivre ensemble parce que le burundi est pour les burundais nos problèmes ça devraient être réglés entre nous même en suivant seulement les analyses et la logique des choses selon le temps où nous vivons.

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